1822 |
De la féodalité et des
institutions de saint Louis |
1824 |
|
1836-1842 |
Négociations relatives à
la succession d'Espagne sous Louis XIV, 4 vol. |
1843 |
Notices et mémoires
historiques, 2 vol.
|
1845 |
Antonio Perez et Philippe II
|
1848 |
Vie de Franklin |
1851 |
Histoire de Marie
Stuart, 2 vol.
|
1854 |
Mémoires
historiques |
1855 |
Charles-Quint, son
abdication et sa mort |
1863 |
Éloges historiques |
1875 |
Rivalité de François 1er
et de Charles-Quint, 2 vol. |
1877 |
Nouveaux éloges
historiques |
Caractère de la révolution française ; ses résultats, sa
marche. — Formes successives de la monarchie. — Louis XIV et Louis XV. — État
des esprits, des finances, du pouvoir et des besoins publics à l’avènement de
Louis XVI. — Caractère de Louis XVI. — Maurepas, premier ministre ; sa
tactique. — Il choisit des ministres populaires et réformateurs ; dans quel
but. — Turgot, Malesherbes, Necker ; leurs plans ; ils rencontrent
l’opposition de la cour et des privilégiés ; ils échouent. — Mort de
Maurepas. — Influence de la reine Marie-Antoinette. — Aux ministres
populaires succèdent des ministres courtisans. — Calonne et son système ;
Brienne, son caractère, ses tentatives. — Détresse des finances ; opposition
de l’assemblée des notables ; opposition du parlement ; opposition des
provinces. — Renvoi de Brienne ; second ministère de Necker. — Convocation
des états généraux. — Comment la révolution a été amenée. |
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Depuis le 5 mai 1789 jusqu’à la nuit du 4 août. |
Ouverture des états généraux. — Opinion de la cour, du
ministère, des divers corps du royaume touchant les états. — Vérification des
pouvoirs. — Question du vote par ordre ou par tête. — L’ordre des communes se
forme en assemblée nationale. — La cour fait fermer la salle des états ;
serment du Jeu de Paume. — La majorité de l’ordre du clergé se réunit aux
communes. — Séance royale du 23 juin, son inutilité. — Projet de la cour ;
événements des 12, 13 et 14 juillet ; renvoi de Necker ; insurrection de
Paris ; formation de la garde nationale ; siége et prise de |
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Depuis la nuit du 4 août jusqu’aux 5 et 6 octobre 1789. |
État de l’assemblée constituante. — Parti du haut clergé et de
la noblesse ; Maury et Cazalès. — Parti du ministère et des deux chambres :
Mounier, Lally-Tollendal. — Parti populaire ; triumvirat de Barnave, Duport
et Lameth ; sa position ; influence de Sieyès ; Mirabeau, chef de l’assemblée
à cette époque. — Ce qu’il faut penser du parti d’Orléans. — Travaux
constitutionnels : déclaration des droits ; permanence et unité du corps
législatif ; sanction royale ; agitation extérieure qu’elle cause. — projet
de la cour ; repas des gardes du corps ; insurrection des 5 et 6 octobre ; le
roi vient habiter Paris. |
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Depuis le 6 octobre 1789 jusqu’à la mort de Mirabeau, en avril
1791. |
Suite des événements d’octobre. — Changement des provinces en
départements ; organisation des autorités administratives et municipales
d’après le système de la souveraineté populaire et de l'élection. — Finances
; tous les moyens auxquels on a recours sont insuffisants, on proclame les
biens du clergé biens nationaux. — La vente des
biens du clergé amène les assignats. — Constitution civile du clergé ;
opposition religieuse des évêques. — Anniversaire du 14 juillet ; abolition
des titres ; fédération du Champ-de-Mars. —
Nouvelle organisation de l’armée ; opposition des officiers. — Schisme à
propos de la constitution civile du clergé. — Clubs. — Mort de Mirabeau. —
Pendant toute cette époque la séparation des partis devient de plus en plus
prononcée. |
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Depuis le mois d’avril 1791 jusqu’au 30 septembre, terme de
l’Assemblée constituante. |
Politique de l’Europe avant la révolution française, système
d'alliance suivi par les divers états. — Coalition générale contre la
révolution ; motifs de chaque puissance. — Conférence et déclaration de
Mantoue. — Fuite de Varennes ; arrestation du roi ; sa suspension. — Le parti
républicain se sépare pour la première fois du parti constitutionnel
monarchique. — Ce dernier rétablit le roi. — Déclaration de Pilnitz. — Le roi accepte la constitution. — Fin de
l’assemblée constituante ; jugement sur elle. |
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Depuis le 1er octobre 1791 jusqu’au 21 septembre 1792. |
Premiers rapports de l’assemblée législative avec le roi. —
État des partis : les Feuillants appuyés sur la classe moyenne, les Girondins
sur le peuple. — Émigration et clergé réfractaire ; décret contre eux ; veto
du roi. — Annonces de la guerre. — Ministère girondin ; Dumouriez et Roland.
— Déclaration de guerre contre le roi de Hongrie et de Bohême. — Désastres de
nos armées : décret d’un camp de réserve de vingt mille hommes sous Paris ;
décret de bannissement contre les prêtres non assermentés ; veto du roi ;
chute du ministère girondin. — Pétition insurrectionnelle, du 20 juin, pour
faire accepter les décrets et reprendre les ministres. — Dernières tentatives
du parti constitutionnel. — Manifeste du duc de Brunswick. — Événements du 10
août. -— Insurrection militaire de |
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Depuis le 21 septembre 1792 jusqu’au 21 janvier 1793. |
Premières mesures de |
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Depuis le 21 janvier 1793 jusqu’au 2 juin. |
Situation politique et militaire de |
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Depuis le 2 juin 1793 jusqu’en avril 1794. |
Insurrection des départements contre le 31 mai ; revers
prolongés aux frontières ; progrès des Vendéens. — Les Montagnards décrètent
la constitution de 1793, et la suspendent aussitôt pour maintenir et
renforcer le gouvernement révolutionnaire. — Levée en masse ; loi des
suspects. — Victoire des Montagnards dans l' intérieur
et sur les frontières. — Mort de la reine, des vingt-deux Girondins, etc. —
Comité de salut public ; sa puissance ; ses membres. — Calendrier républicain.
— Les vainqueurs du 31 mai se divisent. — La faction ultra révolutionnaire de
la commune ou des Hébertistes fait abolir le catholicisme et décrète le culte
de la raison ; sa lutte avec le comité de salut public ; sa défaite. — La
faction modérée de |
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Depuis la mort de Danton, en avril 1794, jusqu’au 9 thermidor (27
juillet 1794). |
Redoublement de terreur ; sa cause. — Systèmes des démocrates
; Saint-Just. — Puissance de Robespierre. — Fête de l’être suprême. — Couthon
présente la loi du 22 prairial, qui réorganise le tribunal révolutionnaire ;
troubles, débats, puis obéissance de |
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Depuis le 9 thermidor jusqu’au 1er prairial an III (20 mai 1795),
époque du soulèvement et de la défaite. |
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Depuis le 1er prairial (20 mai 1795) jusqu’au 4 brumaire an IV
(26 octobre), terme de la Convention. |
Campagne de 1793 et 1794. — Dispositions des armées à la
nouvelle du 9 thermidor. — Conquête de |
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Depuis l’installation du Directoire, le 27 octobre 1795, jusqu’au
coup d’état du 18 fructidor an V (4 septembre 1797). |
Revue de la révolution. — Son second caractère de
réorganisation ; passage de la vie publique à la vie privée. —les cinq
directeurs ; leurs travaux intérieurs. — Pacification de |
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Depuis le 18 fructidor an V (4 septembre 1797) jusqu’au 18
brumaire an VII (9 novembre 1799). |
Le Directoire rentre, par le 18 fructidor, dans le
gouvernement révolutionnaire un peu mitigé. — Paix générale, excepté avec
l’Angleterre. — Retour de Bonaparte à Paris ; expédition d’Égypte. —
Élections démocratiques de l’an VI ; le Directoire les annule le 22 floréal.
— Seconde coalition ; |
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Depuis le 18 brumaire (9 novembre 1799) jusqu’au 2 décembre 1804. |
Espérances des divers partis après le 18 brumaire. —
Gouvernement provisoire. — Constitution de Sieyès ; elle est dénaturée dans
la constitution consulaire de l’an VII. — Formation du gouvernement ;
desseins pacificateurs de Bonaparte. — Campagne d’Italie ; victoire de
Marengo. — Paix générale : sur le continent, par le traité de Lunéville ;
avec l’Angleterre, par le traité d’Amiens. — fusion des partis, prospérité
intérieure de |
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Depuis l’établissement de l’Empire en 1804 jusqu’en 1814. |
Caractère de l’empire. — Changement des républiques créées par le Directoire
en royaumes. — Troisième coalition ; prise de Vienne ; victoires d’Ulm et
d’Austerlitz ; paix de Presbourg ; érection des deux royaumes de Bavière et
de Wurtemberg. — Confédération du Rhin. — Joseph-Napoléon est nommé roi de
Naples, Louis-Napoléon roi de Hollande. — Quatrième coalition ; bataille
d’Iéna, prise de Berlin ; victoires d’Eylau et de Friedland ; paix de Tilsitt
; la monarchie prussienne est réduite de moitié, les deux royaumes de Saxe et
de Westphalie sont institués contre elle. — Celui de Westphalie est donné à
Jérôme-Napoléon. — Le grand empire s’élève avec ses royaumes secondaires, sa
confédération suisse, ses grands fiefs ; il est modelé sur celui de
Charlemagne. — Blocus continental ; Napoléon emploie la cessation du commerce
pour réduire l’Angleterre, comme il a employé les armes pour soumettre le
continent. — Invasion du Portugal et de l’Espagne ; Joseph-Napoléon est nommé
roi d’Espagne ; Murat le remplace sur le trône de Naples. Nouvel ordre
d’événements : insurrection nationale de la péninsule ; lutte religieuse du
pape ; opposition commerciale de |